Sur les traces de Lévi-Strauss, Lacan et Foucault, filant comme le sable au vent marin...
29 Décembre 2024
- Belote, rebelote et 10 de der ? Tu jettes tes dernières cartes avant le réveillon ?
- Malheureusement je n'arriverai pas à bout du spin cette fois-ci, mais le détour qui m'amène à la dualité covariance/ contravariance mérite d'être conté...
Le 29/ 12/ 2024 :
- Cette idée d'une dualité chez le Sujet entre ce qui serait de spin 1/2 et 1, (voir "Anima/animus vs Boson/ Fermion") m'a fait souvenir de m'y être déjà arrêté quelques fois sur ce blog, voir en particulier :
Et en dressant cette liste, je m'aperçois avoir déjà fait le même rapprochement anima/ animus <=> boson/ fermion, sous une autre forme :
- Il y a là un automatisme de répétition à l'oeuvre mon ami !
- Oui, exactement, sauf qu'aujourd'hui, le langage se précise, et que nous nous rapprochons d'une expression sous forme de tenseurs, en explorant le niveau [♻] de l'Imaginaire. Par ailleurs, depuis 2022, j'ai formalisé une dualité de "voies" pour parcourir notre topologie Imaginaire :
- Merci pour le rappel, et donc ?
- Pour écrire les relations entre objets en physique, nous devons monter de la géométrie en [#]♧ à la topologie en [#]♢, où les actions de l'environnement sur un objet sont représentées sous forme de "champs" de vecteurs, forces, torsions, gravitation, électrique, magnétique etc. C'est ce que nous avons vu hier dans la création de tenseurs décrivant les lois physiques, à partir :
Le point important étant que l'expression tensorielle ne se réfère pas intrinsèquement en [♻]♢ au choix d'une base, alors que sa représentation ou projection en [#]♢ le nécessite.
En quelque sorte, nous avons une représentation "visuelle" en [#]♢,
Avec une configuration entre les niveaux qui répond à celle que nous avons vue entre les modes :
voie des mots (♧𓁝𓁜♡) | voie des choses (☯𓁝𓁜☯) | |
Il y a là des déplacements du Sujet passant d'une posture à l'autre masqués dans l'écriture mathématique des tenseurs au niveau [⚤]♢,
- À moins de faire intervenir une notion de spin ?
- Ha ! C'est toute la question : le spin est-il lié intrinsèquement à l'objet, ou se réfère-t-il aux changements de postures du Sujet ? Comme tu le vois sur la vidéo, dans cette représentation d'un objet tournant 2 fois sur lui-même selon les 3 dimensions, l'objet en question est représenté lié fixement à un espace donné, donc à un Sujet en posture 𓁜, pour en parler.
Revenons à ma surprise en constatant que pour faire le tour d'une pièce de monnaie avec une autre pièce semblable, il fallait faire faire 2 tours à cette dernière (4π), pour revenir à sa position initiale. (voir ici)
Le truc, c'est que si les 2 pièces tournent l'une autour de l'autre en sens inverse, façon engrenage, chacune n'aura fait qu'un tour pour que l'ensemble se retrouve dans la position initiale.
- Quel rapport avec la différence boson/ fermion ?
- La façon de regarder nos deux pièces est différente.
- Tu pourrais faire une expérience de pensée (☯𓁝𓁜☯), souvent utile en physique, en te représentant localement 𓁝 au centre de l'une des deux, le regard dirigé vers la seconde, pour constater que tu fais un tour sur toi-même dans ton référentiel lorsque l'autre fait un tour de même sens...
- C'est plus compliqué qu'une simple remarque sur les symétries, mais oui, c'est une autre façon de faire. Tentons de mettre tout ceci en scène sur notre topologie de l'Imaginaire. Nous sommes entre les niveaux [⚤] et [#] à naviguer entre modes ♧ et ♢.
A et B parties d'un tout | → | 𓁝[#]♢𓁜 | la situation d'ensemble |
↑ | |||
A, B éléments | [#]♧𓁜 |
- Autrement dit, en "objectivant" la posture du Sujet en 𓁝[#]♧𓁜 au même titre que l'objet de son observation, la différence de posture locale/ globale est à prendre en compte dans la description de l'expérience. Mais en mode ♢ nous quittons le repérage géométrique pour nous intéresser aux relations...
- C'est ce que je voudrais démêler avec toi. J'ai le sentiment, ici et maintenant, en l'écrivant, que la dualité local— 𓁝/𓁜—global change de signification entre les modes ♧ & ♢.
- Voilà qui ne va pas simplifier la chasse au Sujet dans sa jungle Imaginaire !
- Laisse-moi d'abord avancer sur cette intuition, en revenant à la configuration du terrain :
𓂀♡ | 𓂀♡ | |||||||||
[∅] | [∅] | [∅] | ||||||||
[∃]♡ | [⚤]♡ | [#]♡ | [♻]♡ | [∅]☯ | ||||||
[∃]♢ | [⚤]♢ | [#]♢ | [♻]♢ | [∅] | ||||||
☯[∃]♧ | [⚤]♧ | [#]♧ | [♻]♧ | [∅] | ||||||
[∃]⚤ | [∃]# | [∃]♲ | ||||||||
𓂀♡ | 𓂀♡ |
Topologie, qui je te le rappelle est représentée du point de vue central du chasseur en [#]♢.
En mode ♧ :
En mode ♢ :
Il faut distinguer entre groupes libres et groupes de symétries.
- Tu penses à quoi ?
- Les représentations en mode ♢ reflètent toujours un choix ♡↓♢, mais ces choix sont articulés ente eux.
- Autrement dit, toute représentation en mode ♢ se fait dans un cadre posé d'avance, sans réelle possibilité d'approche "locale" au sens géométrique de mode ♧ ?
algèbre | topologie | métrique |
𓁝[⚤]♡ | 𓁝[#]♡ | 𓁝[♻]♡ |
Choix ↓ | Choix ↓ | Choix ↓ |
[⚤]♢𓁜 | [#]♢𓁜 | [♻]♢𓁜 |
- Exactement. Il n'y a pas de dualité local— 𓁝/𓁜—global en mode ♢ au sens où en [#]♧, par exemple, tu peux "découvrir localement" la courbure d'un espace en faisant la somme des angles d'un triangle. Le mode ♧ est celui de la découverte à chaque niveau, au plus près du Réel, tandis qu'en mode ♢, tu cherches une syntaxe pour donner sens à tes expériences, en fonction de choix sémantiques.
- On abandonne la dualité local— 𓁝/𓁜—global ?
- Sûrement pas ! Comme je te l'ai déjà dis, il faut lui trouver une signification plus haute, et nous avons déjà flirté avec, en parlant du bouclage extrême des 4 coins 𓂀♡ de notre topologie. (voir "Le Moi-Peau")
Questionner | Être | |
𓁝[⚤]♡ | 𓁝[♻]♡ | |
⤩ | ||
[⚤]♧𓁜 | [♻]♧𓁜 | |
Exister | mesurer |
Avec :
- Ça ne nous avance pas beaucoup...
- Un peu quand même. En passant de la voie des choses, à celle des mots (♧𓁝𓁜♡), que peut-on dire du mode ♢ ?
- Je dirais que vu de cet entre-deux :
Ce n'est qu'une formalisation de ce que constate JP Changeux : une prise de conscience est la rencontre entre un percept (qui serait de mode ♧) et un concept déjà acquis (en mode ♡).
- Ce faisant, nous avons trouvé une façon de différencier la dualité
local— 𓁝/𓁜—global en fonction des modes intéressant la physique :
- Rien de neuf : tu extrapoles la distinction section/ rétraction de la théorie des Catégories au-delà du mode ♢.
- Exact. En résumé, cette évolution de la dualité local— 𓁝/𓁜—global, accompagnerait celle d'orthogonalité, passant :
Soit, mais quid des changements de niveaux en mode ♢?
- Prenons le concept de tenseur si utile en physique comme guide :
- Qu'entends-tu par interne ?
- Que ces lois doivent rendre l'objet aussi indépendant que possible des choix du Sujet qui l'observe, et c'est toute la difficulté. (Note 6)
Le 30/ 12/ 2024 :
- OK pour l'exposé de la situation, mais tout ceci est très général : on a un aperçu de la jungle, mais tu devais nous parler des tours et détours du gibier.
- Nous avons vu qu'en mode ♧, on pouvait représenter physiquement le passage de local à global 𓁝[#]𓁜⇆ 𓁝[#]𓁜, par une rotation physique de 2π. C'est ce que fait l'enfant faisant l'expérience du miroir, se retournant vers sa mère pour lui demander confirmation : "c'est moi dans le miroir?".
- Rien d'étonnant : nous sommes en ♧ à la description d'objets, comme un PV de gendarmerie, sans aucune prise en compte des relations entre objets, ou Sujets (mère/enfant dans le cas du stade du miroir).
- Exact, la question est de passer de ♧ à ♢. Je te propose l'hypothèse suivante :
- Pourquoi caractériser [⚤] par l'indétermination, c'est aussi le niveau des Ensembles, de l'ordre et du temps ?
- Effectivement, ça peut paraître paradoxal et demande explication.
1/ En ☯[∃][⚤]♧𓁜 et au contact quasi direct du Réel, le Sujet n'enregistre que les chocs du Réel, revient à l'idée des points de capiton de Lacan. Au niveau neurologique, cette perception est immédiatement codée en séquence dans la mémoire événementielle comme une série de diapos. Intrinsèquement, il y a un gap vide d'expression entre deux enregistrements, c'est de là que nous sommes partis en reprenant la distinction linguistique diachronie/ synchronie. Il y a donc bien une indétermination fondamentale dans notre appréhension du Réel.
2/ Notre représentation en [⚤]♧𓁜 est très pauvre, faute de syntaxe plus développée que celle de Peano pour construire ℕ. Mais il y a toujours une indétermination qui subsiste (par exemple un gap entre n et n+1, ou une limite non atteignable.
3/ En [⚤]♢𓁜, nous avons vu dans la démarche cohomologique, comment les cochaînes de l'étape n+1 restreignant les possibles développés à l'étape n de la démarche.
Il y a cette idée d'un foisonnement des possibles au plus proche du Réel, que notre Imaginaire s'efforce de maîtriser, de lisser au fur et à mesure que l'on progresse, soit de niveau, soit de mode. Dit autrement : l'Imaginaire tente de maîtriser l'incertitude du Sujet face au Réel ☯𓁜.
- En bref "ordo ad chao", tu redécouvres l'eau tiède...
- Je voulais simplement restituer le sens de l'évolution des concepts dans la voie des choses : du côté [⚤]𓁜 tu fais face à un foisonnement, que tu tentes de maîtriser en [♻]𓁜 par des principes de conservation.
- Et en [#]𓁜, tu médiatises les extrêmes ?
- Oui, regarde par exemple le concept de temps :
- OK pour les généralités, et si tu en venais à nos tenseurs ?
- Ma première compréhension de leur utilisation est la suivante :
Autrement dit, "l'objet" tenseur est présenté en [⚤]♢, mais son utilisation en [#] ou [♻] se traduit par des symétries, qui sont représentables en [#].
Maintenant, le phénomène que nous avons vu avec le temps, lors du passage [⚤]♧→[#]♧, où nous avons temps ⊥ espace (dans l'espace ℍ, c'est la dimension réelle, l'espace étant sur les 3 dimensions imaginaires) se repère ici [⚤]♢→[#]♢ dans l'orthogonalité entre espace vectoriel—E⊥E*—espace dual des formes linéaires, qui s'exprime dans le produit extérieur.
- Je croyais qu'en [#]♢ le concept d'orthogonalité avait évolué pour l'appliquer au passage de voies (☯𓁝𓁜☯)⊥(♧𓁝𓁜♡) ?
- Oui, et la question des de repérer l'effet visible de cette rotation du Sujet, sur sa représentation. Mais pour avancer, il faut nous assurer du langage mathématique employé (Note 1).
- Tu n'es pas sûr de toi ?
- Disons que les définitions mathématiques usuelles n'ont pas été écrites en pensant à notre repérage Imaginaire, vois notre exercice comme un changement de base : ce qui semble simple sur notre topologie peut se transcrire de façon complexe en langage mathématique. En l'occurrence, la définition des vecteurs et formes linéaires est exprimée en [⚤]♢ à partir d'une base B vectorielle en [#]♢ :
J'insiste un peu lourdement, mais tu vois bien que "l'objet vecteur" est de niveau [#]♢, et cela tient essentiellement au concept d'orthogonalité ⊥ entre éléments de la base B= (e1⊥e2⊥...⊥en), dont l'expression algébrique n'est qu'une transcription littérale, une représentation.
- Bon, merci pour le rappel, mais toutes ces précisions pour en venir où ?
- Les formes linéaires sont quant à elles de pures expressions de niveau [⚤]♢.
Et c'est là où je voulais en venir : cette différence de niveaux : formes linéaires—[⚤]♢/[#]♢.— espaces vectoriels, s'accompagne d'une différence des voies suivies pour les définir :
Et cette différence de voies se traduit par la dualité
- Tu as réussi à la placer? Il était tant !
- Le plus dur était de dépasser ce qui se donnait à voir en premier : une différence de niveaux sur la scène, pour mettre en évidence en coulisses une différence d'approches beaucoup plus profonde.
Ce qui se traite dans la voie des choses, c'est leur relation, et cette dernière doit être préservée dans un changement d'échelle : si (3 poires et 2 navets) valent 5 choux, alors 3(2 poires) + 2(2navets)= 5(2choux). => covariance.
Si maintenant, pour représenter un objet X, tu changes d'échelle, il s'agit ici d'une simple convention d'écrire, qui ne doit pas affecter l'objet. => contravariance.
Là où je capotais, c'était de partir du présupposé que cette différence tenait à la différence de niveaux [⚤]♢/[#]♢.
- Ça implique de reprendre tout ce que tu as pu dire sur la question, ou qui en découle ?
- Oui, c.-à-d. à peu près tout ce Blog... Mais nous ne le ferons qu'à partir de l'idée de topos [♻]♢ et de schémas [⚤]♢←[#]♢... Car après tout c'est bien pour préparer le terrain Imaginaire que je fais ce survol.
- Tes conventions d'écriture, avec les modes en exposants ♧♢♡, et les niveaux en indices ⚤ # ♻, donnent une évolution du Sujet selon :
Ce qui est l'inverse de la convention d'Einstein sur les indices... dommage.
- Oui, je crois qu'il est plus sage de changer ma convention dès maintenant, ce sera un moyen mnémotechnique simple d'indiquer la différence covariance/ contravariance, fort heureusement, mon écriture n'est pas reprise par trop de monde ! 🙂
- En attendant les développements, tu étais parti pour nous parler d'un hypothétique
- Il s'observe dans l'expérience de Gerlach réalisée voici un siècle. C'est dire qu'il s'agit d'une mesure sur l'objet, et que nous sommes en [♻]♢.
- il faut revenir à Lebesgues (voir "Espaces et mesures")?
- Non, et pour couper au plus court nous allons en rester à la mécanique classique pour laquelle une mesure peut-être représentée par un tenseur diagonal. (Note 3)
- Ah, je te vois venir : c'est un produit de vecteurs par des formes linéaires, autrement dit le mariage entre deux points de vue.
- Avoue que cela donnerait du corps à notre représentation : ([#]𓁝⊥𓁜[♻]𓁝⇆𓁜[∅])𓂀♢ !
- Ça me fait penser à l'équivalence entre l'énergie cinétique, qui serait selon la voie des choses et l'énergie potentielle, pure construction intellectuelle de Lagrange, dans la voie des mots.
- Il y a effectivement de quoi méditer à partir de là.
- Et tes amours, Jacques ?
- Le spin dans l'affaire ? En fait la mesure des fermions et celle des bosons n'est pas si simpliste qu'en mécanique classique...
- Laisse pour l'instant cet aspect quantique pour nous parler du Sujet. Nous avions vu qu'en mode ♧, il était "possible" d'objectiver le passage local—𓁝[#]♧𓁜—global comme une rotation de 2π; dans une approche (☯𓁝𓁜☯), y aurait-il quelque chose de cet ordre en [#]♢ dans le passage voie (☯𓁝𓁜☯)⊥(♧𓁝𓁜♡) ?
- Je pense que nous tirons trop sur la métaphore, et qu'il faut être plus musclés pour aborder ce type de problème, si s'en est un... La seule chose qui me vienne pour l'heure, c'est l'idée de "foncteurs cartésiens" (voir "Jean Bénabou et foncteurs cartésiens").
L'essentiel à retenir pour l'instant, c'est d'avoir situé sur notre topologie Imaginaire, la dualité covariance/ contravariance.
On en reste là pour cette année...
- Amen.
Hari
Note 1 :
Je laisse la parole à Perplexity :
🤖: Définition d'un Espace Vectoriel
Exemples d'Espaces Vectoriels
Définition des Formes Linéaires
Une forme linéaire est une application linéaire qui associe à chaque vecteur d'un espace vectoriel E un scalaire dans le corps de base K. Mathématiquement, une forme linéaire f : E→K doit satisfaire les propriétés suivantes :
Importance des Formes Linéaires :
Les formes linéaires jouent un rôle clé dans l'étude des espaces vectoriels, notamment dans la définition de l'espace dual. L'espace dual d'un espace vectoriel E, noté E*, est l'ensemble de toutes les formes linéaires sur cet espace. Cela permet d'explorer les propriétés des vecteurs à travers leurs interactions avec les scalaires. En résumé, un espace vectoriel est une structure mathématique fondamentale qui permet de travailler avec des vecteurs et des scalaires, tandis que les formes linéaires sont des outils qui permettent de mesurer ou de transformer ces vecteurs en scalaires.
Sources
[1] Espace vectoriel - BibM@th https://www.bibmath.net/dico/index.php?action=affiche&quoi=.%2Fe%2Fev.html
[2] Espace vectoriel - Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_vectoriel
[3] [PDF] Chapitre III Espaces vectoriels https://www.imo.universite-paris-saclay.fr/~michel.rumin/enseignement/S2PMCP/3-Espaces%20vectoriels.pdf
[4] [PDF] Les espaces vectoriels - Université de Rennes https://perso.univ-rennes1.fr/marie-pierre.lebaud/agint/ecrit/algebre-lineaire/espaces-vectoriels/V-espaces-vectoriels.pdf
[5] Résumé de cours : Généralités sur les espaces vectoriels - BibM@th https://www.bibmath.net/ressources/index.php?action=affiche&quoi=mathsup%2Fcours%2Fev.html
Note 2 :
Définition des coordonnées d'un vecteur :
🤖: Les coordonnées des vecteurs dans un espace vectoriel sont effectivement exprimées sur le corps K des scalaires. Voici une explication détaillée :
Coordonnées des Vecteurs
Conclusion
En résumé, les coordonnées des vecteurs dans un espace vectoriel sont toujours exprimées sur le corps K des scalaires. Cela est fondamental pour la définition et l'utilisation des espaces vectoriels en algèbre linéaire.
Sources
[1] [PDF] Espaces vectoriels https://deserti.perso.math.cnrs.fr/cours/L1/2020_2021_ev_cours.pdf
[2] Composantes d'un vecteur - Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Composantes_d'un_vecteur
[3] Espace vectoriel - Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_vectoriel
[4] Calcul vectoriel - Janus Cosmological Model https://www.januscosmologicalmodel.fr/post/calcul-vectoriel
[5] [PDF] Bases et coordonnées dans un espace vectoriel de dimension finie https://math.univ-cotedazur.fr/~parus/A2/ResumecoursPC-SF_Phy-chap6.pdf
[6] [PDF] Les espaces vectoriels https://cahier-de-prepa.fr/mpsi2-kerichen/download?id=607
[7] [PDF] II — Espaces vectoriels https://delcourt.u-cergy.fr/M2_Ens/chap_2_2014.pdf
Note 3 :
Mesure en mécanique classique :
🤖: En mécanique classique, la mesure peut effectivement être représentée par un tenseur diagonal, notamment dans le contexte des tenseurs d'ordre 2, comme le tenseur des contraintes. Voici une explication détaillée :
Tenseurs en Mécanique Classique
Sources
[1] Tenseur des contraintes - Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Tenseur_des_contraintes
[2] [PDF] Tenseurs en Mécanique X3PM040 Anisotropie et composites M2 ... - HAL https://hal.science/cel-01998805v1/file/Cours%202%20sur%20les%20tenseurs%20en%20m%C3%A9canique.pdf
[3] [PDF] Mécanique des solides déformables - FUN MOOC https://lms.fun-mooc.fr/c4x/ensam/022001S05/asset/2_Deformations.pdf
[4] [PDF] NOTES DE COURS Notions élémentaires sur les tenseurs Par ... https://moodle.polymtl.ca/pluginfile.php/137989/mod_page/content/39/01_LES_TENSEURS.pdf /p>
Note 4 :
Groupe libre et groupe de symétrie :
Jusqu'à présent, j'ai souvent amalgamé les deux types de groupes à tort. Il faut distinguer entre groupes libres et groupes de symétries.
🤖: Différences entre groupe libre et groupe de symétrie
Groupe libre :
Un groupe libre est une structure algébrique qui se compose d'un ensemble d'éléments, où les opérations sont définies par des règles de composition sans relations supplémentaires imposées, à l'exception des axiomes fondamentaux d'un groupe. Voici quelques caractéristiques clés :
Groupe de symétrie :
Un groupe de symétrie, quant à lui, est un type spécifique de groupe qui décrit les transformations d'un objet qui laissent certaines propriétés invariantes. Voici ses principales caractéristiques :
Comparaison :
En résumé : bien que les groupes libres et les groupes de symétrie partagent certaines caractéristiques fondamentales en tant que groupes, ils diffèrent considérablement dans leur définition, leur structure et leurs applications.
Sources [1] Groupes de symétrie - Introduction à la Théorie des Groupes ... - StudyRaid https://app.studyraid.com/fr/read/2387/47792/groupes-de-symetrie
[2] [PDF] Initiation à la théorie des groupes https://irma.math.unistra.fr/~delzant/Groupes.pdf
[3] Groupe (mathématiques) - Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_(math%C3%A9matiques)
[4] [PDF] Groupes et actions de groupes - Mathématiques https://molin-mathematiques.fr/cours/Cours-dintroduction-aux-groupes
[5] Groupe symétrique - Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_sym%C3%A9trique
[6] la théorie des groupes est l'étude de la symétrie » : r/mathematics - Reddit https://www.reddit.com/r/mathematics/comments/14gnz46/what_do_people_mean_by_group_theory_is_the_study/?tl=fr
[7] Aspect linéaire des groupes libres - Persée https://www.persee.fr/doc/barb_0001-4141_1968_num_54_1_62151
Note 5 :
On peut penser par exemple à la théorie des jauges s'intéressant aux symétries locales (voir ici) des champs de jauges (S0, Su(2) et Su(3)) (voir ici).
Note 6 :
L'expérience du choix retardé d'Alain Aspect, remet en cause l'indépendance "absolue" de l'objet par rapport aux choix du Sujet !